Hamid Karzai asked that five Taliban, who had left the movement, be removed from the UN-established list of persons to sanction and he obtained 140 million dollars to finance the first year of his national reconciliation program. Some days earlier,…
They look at one another, happy and deeply moved. A little self-conscious also. How to meet again after so long? How to pick up the thread of an existence interrupted three, four years ago? They hardly know how any more.
Ils se regardent, heureux et émus. Un peu embarrassés aussi. Comment se retrouver après si longtemps ? Comment reprendre le fil d'une existence interrompue il y a trois ans, quatre ans ? Ils ne savent plus très bien.
Dans son livre, Rashid explique comment le Pakistan a fourni aux talibans un sanctuaire, de l'argent et des armes après l'invasion Américaine de l'Afghanistan, tandis que le Pakistan devenait dans le même temps l'allié stratégique des Américains dans la région.
Faute de pouvoir les réduire par la force, Etats-Unis et Pakistan tentent d'acheter les talibans ou au moins certains de leurs fidèles.
by Sara Daniel, Le Nouvel Observateur Thursday 10 December 2009 In the last presidential election, he came in sixth out of 41 candidates. A good showing for a man who was once defense minister to Najibullah, the former pro-Soviet president…
And what if the stabilization of Afghanistan could come only at this price? While Barack Obama's decision to send 30,000 additional troops to Afghanistan seems to sound the death knell for that option envisaged by the more cynical members of the American administration, those who don't believe in a military solution in the country continue to militate in favor of a "discussion" with the enemy.
Shahnawaz Tanaï évoque avec nostalgie ce « bon vieux temps » des Soviétiques qu’il ne semble pas être le seul à regretter. A l’entendre, il y aurait de nombreux points communs entre l’occupation de l’Afghanistan par l’Otan et la période…
Et si la stabilisation de l'Afghanistan ne pouvait se faire qu'à ce prix? Alors que la décision de Barack Obama d'envoyer 30 000 soldats supplémentaires en Afghanistan semble sonner le glas de cette option envisagée par les plus cyniques au sein de l'administration américaine.