by Sara Daniel, Le Nouvel Observateur Thursday 10 December 2009 In the last presidential election, he came in sixth out of 41 candidates. A good showing for a man who was once defense minister to Najibullah, the former pro-Soviet president…
And what if the stabilization of Afghanistan could come only at this price? While Barack Obama's decision to send 30,000 additional troops to Afghanistan seems to sound the death knell for that option envisaged by the more cynical members of the American administration, those who don't believe in a military solution in the country continue to militate in favor of a "discussion" with the enemy.
Shahnawaz Tanaï évoque avec nostalgie ce « bon vieux temps » des Soviétiques qu’il ne semble pas être le seul à regretter. A l’entendre, il y aurait de nombreux points communs entre l’occupation de l’Afghanistan par l’Otan et la période…
Et si la stabilisation de l'Afghanistan ne pouvait se faire qu'à ce prix? Alors que la décision de Barack Obama d'envoyer 30 000 soldats supplémentaires en Afghanistan semble sonner le glas de cette option envisagée par les plus cyniques au sein de l'administration américaine.
Fermer le bagne de Guantanamo en janvier 2010 : Barack Obama en avait fait l'un de ses principaux objectifs pendant sa campagne.
Tandis que la shura opère comme un politburo qui détermine les grands axes de la stratégie de l'insurrection, le mollah Baradar est l'homme du terrain.
Ces attaques s'inscrivent-elles dans une stratégie délibérée ? Sans aucun doute.
