Nabil, n° 238 à Guantánamo
A Guantánamo, la nuit, Nabil rêve de l'ogresse. Cette tante qui l'a recueilli lorsqu'il a quitté la France pour l'Algérie, à la mort de son père. Comme un mauvais génie, elle envahit l'isolement total de sa cellule métallique, dans la lumière bleutée des néons qui ne cessent jamais de clignoter.